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Plus pre de Meyries

PROJETS

Les espaces communs

PROJETS, jardins privés

PLUS PRE DE MEYRIES

Queyras, Hautes Alpes

Le pré de Meyriès intervient dans un hameau oublié du Queyras, où se mêlent problématiques paysagères et architecturales, liées aux contraintes du Parc Naturel Régional du Queyras, du tourisme et de l’économie locale en mutation. Il s’agit de proposer une intervention à la fois simple et osée pour intégrer le projet architectural aux ambiances et contraintes paysagères à respecter. En somme, de conjuguer et  d’harmoniser les besoins humains et économiques avec le respect d’une nature classée.

Du paysage à l'assiette

DU PAYSAGE A L'ASSIETTE

Bruxelles, Belgique

Le pré de Meyriès intervient dans un hameau oublié du Queyras, où se mêlent problématiques paysagères et architecturales, liées aux contraintes du Parc Naturel Régional du Queyras, du tourisme et de l’économie locale en mutation. Il s’agit de proposer une intervention à la fois simple et osée pour intégrer le projet architectural aux ambiances et contraintes paysagères à respecter. En somme, de conjuguer et  d’harmoniser les besoins humains et économiques avec le respect d’une nature classée.

DU PAYSAGE A L'ASSIETTE

L’expérience de la table paysage est celle d’une échelle de travail très restreinte, celle de l’objet. La table questionne notre rapport gourmand au paysage. Le design considère le corps avec la prise en compte de l’assise et du regard porté sur les végétaux par les usagers ; mais, aborde aussi la dimension pédagogique et conviviale. Au cÅ“ur de cette grande tablée, se décline un banquet botanique composé de cortèges de végétaux, emblématiques de nos paysages familiers et comestibles.

Bruxelles, Belgique

Travail réalisésous la tutelle de Jacques Abelman

Gare de Simiane, l'écotone

DU PAYSAGE A L'ASSIETTE

Bruxelles, Belgique

Le pré de Meyriès intervient dans un hameau oublié du Queyras, où se mêlent problématiques paysagères et architecturales, liées aux contraintes du Parc Naturel Régional du Queyras, du tourisme et de l’économie locale en mutation. Il s’agit de proposer une intervention à la fois simple et osée pour intégrer le projet architectural aux ambiances et contraintes paysagères à respecter. En somme, de conjuguer et  d’harmoniser les besoins humains et économiques avec le respect d’une nature classée.

GARE DE SIMIANE- L'ECOTONE

Simiane-Collongue, Bouches du Rhône

Travail réalisé avec Anne-Laure Constant

La gare de Simiane-Collongue s’implante sur le réseau existant de la ligne ferroviaire entre Aix et Marseille et dans le contexte très urbain de la Métropole. Pourtant, Simiane est un village ancien qui compte encore quelques agriculteurs motivés et de rares espaces de productivité. La gare est un écotone au sens où elle devient le lieu d’échange, de fusion et d’inter-connectivité entre milieu urbain et milieu rural, entre les grands pôles urbains et leurs périphéries, entre les activités conventionnelles et celles qui ont fait le choix de ralentir et de revenir aux échanges locaux et raisonnés. Le projet propose d’user d’une infrastructure fonctionnelle, celle des transports et de la gare ferroviaire, pour orienter le regard vers une agriculture locale et une région en devenir.

Laure Minervois

LAURE MINERVOIS- Village autonome, solidaire et connecté

Travail réalisé avec Fanny Vesco, Thomas Ambroselli et Antoine Magnon

Laure Minervois, Aude

Inscrit dans l’archipel de Bourgs du Minervois, à portée de Carcassonne et de Toulouse, le village de Laure jouit d’une situation idéale mais a perdu de son hospitalité ; la forme et l’état du bâti ne répondent plus aux exigences actuelles en termes de logement. Le centre-bourg est alors réinvestit profitant d’une échelle et d’une structure favorables à l’implantation d’une vie collective riche. Sans bouleversements spectaculaires, de nouveaux usages et modes d’habiter sont sculptés par un travail fin de la matière actuelle. La relation de Laure à sa campagne, encore préservée, est d’avantage valorisée par celle du bâti à l’espace cultivé et naturel. La place des espaces publics au cÅ“ur du bourg retrouve une priorité, rééquilibrant surface bâtie et surface libre, et offrant la capacité d’accueillir une vie collective et de porter un imaginaire heureux du village.

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